Bonjour,
je suis une joueur régulier de ce jeu, Takenoko, que j'apprécie beaucoup, mais que je trouve mal équilibré.
La stratégie de ne prendre que des objectifs Panda est trop forte par rapport aux autres. Déjà que trois événements Météo peuvent jouer en sa faveur, Orage, Vent et Point d'interrogation (même la Pluie peut servir à la limite). On peut TOUJOURS prendre des objectifs Panda, même lorsqu'on a plein de bambous en réserve. Ainsi, une grande majorité de joueurs use de cette stratégie, ce qui rend les parties monotones : les joueurs se ruent sur les objectifs Panda et celui qui a réussi les plus payant l'emporte!
Je propose donc de ne pas conserver un objectif Panda pioché lors de l'action Objectif lorsqu'on a déjà les bambous nécessaires pour le réussir. De la même façon qu'on ne peut conserver d'objectifs Jardinier, ni Parcelles, lorsque la condition est déjà remplie. Ça rééquilibrerait, à mon avis, les diverses stratégies possibles pour l'emporter.
Merci de l'attention que vous porter à ce commentaire.
François Corbeil
je suis une joueur régulier de ce jeu, Takenoko, que j'apprécie beaucoup, mais que je trouve mal équilibré.
La stratégie de ne prendre que des objectifs Panda est trop forte par rapport aux autres. Déjà que trois événements Météo peuvent jouer en sa faveur, Orage, Vent et Point d'interrogation (même la Pluie peut servir à la limite). On peut TOUJOURS prendre des objectifs Panda, même lorsqu'on a plein de bambous en réserve. Ainsi, une grande majorité de joueurs use de cette stratégie, ce qui rend les parties monotones : les joueurs se ruent sur les objectifs Panda et celui qui a réussi les plus payant l'emporte!
Je propose donc de ne pas conserver un objectif Panda pioché lors de l'action Objectif lorsqu'on a déjà les bambous nécessaires pour le réussir. De la même façon qu'on ne peut conserver d'objectifs Jardinier, ni Parcelles, lorsque la condition est déjà remplie. Ça rééquilibrerait, à mon avis, les diverses stratégies possibles pour l'emporter.
Merci de l'attention que vous porter à ce commentaire.
François Corbeil